Un tour du Péloponnèse ...
Lundi 8 juillet 2024 :
Après cinq jours passés à Athènes, changement de programme à partir d’aujourd’hui : finis bus, trolleys et métros, nous prenons la route du Péloponnèse dans une Ford de location.
Après une centaine de kilomètres, nous arrivons au canal de Corinthe, impressionnante voie d’eau artificielle ouverte en 1893 pour relier la mer Ionienne à la mer Egée. Cette percée d’un peu plus de six kilomètres de long, 22 mètres de large et jusqu’à 50 de hauteur permet aux bateaux d’éviter un tour du Péloponnèse long de 400 kms.
Le canal franchi, nous voilà donc sur une île …
La route jusqu’à Nauplie traverse de beaux paysages méditerranéens où vignes et oliviers tiennent une grande place.
Nous nous installons à nouveau dans un Airbnb, pour trois jours cette fois, dans un quartier tranquille proche du port et de la vieille ville, juste sous l’imposant fort Palamède que l’on aperçoit, perché sur son rocher, depuis notre petite cour.
La chaleur dehors est si intense (autour de 40°) et le vent si brulant que nous n’en sortons que vers 20 heures pour diner … Un peu d’air marin légèrement frais rend la soirée plus agréable et nous apprécions mieux la balade sur les quais pour voir la mer et observer les luxueux yachts qui y sont amarrés.
Les petites rues de la vieille ville s’animent au coucher du soleil. Pas fous ces grecs : les rues, vides dans la journée, ne se remplissent que le soir, tout comme les restaurants dans les ruelles …
Le blog de Θεόδωρος :
Premier jour à Nauplie, ce matin nous avons pris la route, en passant par le canal de Corinthe, où nous nous sommes arrêtés, puis nous avons visité Nauplie rapidement avant d’aller manger le soir. La ville est magnifique, avec des grandes montagnes à côté et des forteresses magnifiques. Malgré sa petite taille la ville est super !
Pour l’instant malgré tout, ce n’est que le début ici. Le meilleur reste à venir, hâte d’être demain !
L’anecdote :
A Nauplie, se promener au bord des quais c’est un peu comme visiter un zoo : il faut juste remplacer les cages des animaux par des yachts. Confortablement installés dans leurs grands fauteuils, un verre à la main, la plupart des propriétaires ne cherchent pas à se dissimuler, mais au contraire semblent trouver un grand plaisir à s’exhiber dans leur salon à quelques mètres des passants !
Le saviez-vous ?
Cela parait incroyable mais dès le VIIème siècle avant JC, les grecs faisaient passer des bateaux à l’emplacement du canal actuel. Un chemin dallé, le « diolkos », permettait de tracter les navires par des cordages avec des systèmes de contrepoids.
En 67, Néron commença à faire creuser un canal mais le projet fut abandonné à sa mort un an plus tard.
Pas étonnant quand on sait qu’à la fin du XIXème siècle, avec des moyens déjà bien plus modernes, la construction a duré onze ans et coûté la vie à 2.500 ouvriers !
No comment :
Mardi 9 juillet 2024 :
Pas question vu les températures ambiantes de se démener toute la journée. Nous adaptons aujourd’hui notre programme à l’été grec : après un lever et un petit déjeuner tardifs, nous marchons brièvement jusqu’à la plage d’Arvanitia, sous l’autre citadelle, celle d’Akronauplie, pour une bonne baignade. C’est une plage de galets, très fréquentée, mais l’eau est tiède et le cadre magnifique …
Une agréable promenade par le bord de mer nous ramène vers 15 heures dans le centre et nous prenons un peu de fraicheur dans une église orthodoxe avant de déguster quelques falafels et samosas dans un petit restaurant.
Repos au frais jusqu’à 18 h 30, heure du départ vers Epidaure. Bon choix : il n’y a plus grand monde sur le site et la chaleur, dans un cadre verdoyant, est très supportable. Dans la douce lumière du soir, l’atmosphère est magique et les vieilles pierres bien mises en valeur. En premier lieu évidemment l’imposant théâtre de 12.000 places, parfaitement conservé que Jacques Lacarrière dépeint ainsi dans « L’été grec » (qui est bien évidemment mon livre du voyage) : « Courbes et strates de pierre, ancrées dans la colline comme les anneaux ou les spirales d'un grand coquillage fossile » (Je n’aurais pas dit mieux).
Le reste du site est très ruiné mais néanmoins impressionnant avec son stade, son hôpital (le premier de l’antiquité), et ses divers temples et odéons …
Avant de rentrer, nous nous arrêtons voir le soleil se coucher sur la mer depuis un ravissant petit monastère à Aria …
Qu’importe si la France perd sa demi-finale de l’euro le soir même, nous avons passé une excellente journée !
Le blog de Θεόδωρος :
Deuxième journée à Nauplie, bien plus remplie que la première. Nous sommes d’abord allés à une toute petite plage pas loin de chez nous (plage de gros cailloux). À noter que le paysage et les forteresses sont magnifiques, malgré les maisons franchement pas très belles construites au-dessus qui gâchent la beauté de ces dernières …
Après cela nous avons mangé puis nous nous sommes rendus à Épidaure pour voir le super théâtre d’Épidaure, c’était juste magnifique ! Le lieu était assez grand, c’était super joli malgré que la plupart des bâtiments étaient en ruine. J’ai adoré voir que certains endroits où il y a normalement des explications sur le lieu, il n’y en avait pas 😊 ... en résumé j’ai passé une super journée, le théâtre était magnifique.
Le saviez-vous ?
Sur le site d’Epidaure, on peut voir en plus des différents temples consacrés à Aphrodite, Artémis, Themis et autres dieux grecs, les restes d’un bâtiment dédié au culte des divinités égyptiennes. La preuve que les grecs anciens, polythéistes, étaient très tolérants sur le plan religieux.
Notre époque gagnerait à s’inspirer parfois de leur démocratie !
L’anecdote :
Toc, toc, toc … à peine entrés dans la mer ce matin, nous sentons de petits chocs contre nos pieds et nos jambes. Il nous faut quelques minutes pour nous rassurer en constatant que ce ne sont que de petits poissons, presque totalement transparents, qui nous picorent gentiment les pieds …
No comment :
Mercredi 10 juillet 2024 :
Très satisfaits de notre programme de la veille, nous en faisons quasiment un copier-coller pour aujourd’hui.
Après un passage au marché (jolis fruits et légumes à des prix défiant toute concurrence), nous partons à la plage de Karathona pour profiter à nouveau de la (relative) fraicheur d’un bon bain …
Dans la soirée, nous allons visiter Mycènes où nous trouvons comme hier à Epidaure une belle lumière et un site presque pour nous seuls. Cette fois nous reculons de plusieurs siècles, jusqu’à l’époque d’Agamemnon. L’environnement est très minéral et les murs cyclopéens très impressionnants …
La journée se termine en beauté dans un restau de la vieille ville où nous dégustons toutes sortes de spécialités grecques et notamment un excellent fromage flambé !
Le blog de Θεόδωρος :
Malheureusement, dernier jour à Nauplie, mais nous avons bien profité de ce dernier jour en allant à la plage, et je me suis même baigné 2 fois avec Granny pendant que Peipei allait chercher une géocache. On y a découvert en parlant à une dame que les femmes de son époque apprenaient surtout le français et les hommes l’anglais, car les femmes devaient plus parler une langue « de salon » et les hommes une langue plus pratique !
Cette nouvelle plage était superbe avec de nouveaux paysages encore extraordinaires. Puis l’après-midi, après la sieste, nous sommes allés à Mycènes pour voir le palais d’un roi grec (Agamemnon) et le trésor d’Atrée. C’était grandiose et impressionnant, des pierres qui faisaient jusqu’à 123 tonnes, c’est juste énorme. Et très bien conservé, avec aussi la fameuse porte des lionnes pour entrer dans le site du palais. Nous avons fini par un restaurant pour ce dernier repas là-bas. Maintenant dernière nuit puis direction Mystra, petite ville près de Sparte. J’ai adoré Nauplie, pour l’instant mon endroit préféré où nous sommes allés, l’ambiance était vraiment incroyable et la ville était exceptionnelle.
Le saviez-vous ?
Connaissez-vous Karaghiozis ?
Sur la route de notre restaurant du soir, nous profitons par hasard d’une représentation de théâtre d’ombre grec joué devant un parterre d’enfants. Ce personnage traditionnel, est un peu l’équivalent de notre Guignol français !
Le voici côté pile et côté face …
L’anecdote :
A moins de cent mètres de notre maison, une petite église orthodoxe où, dans la pénombre, sont diffusés en permanence des chants religieux.
Et derrière l’église, un petit bistrot de quartier typique. Pas de touristes ici et Anastasia, la patronne, arbore un sourire radieux mais ne parle pas un mot d’anglais. A toute heure elle sert à ses clients des plats de congre avec des pommes de terre accompagnés de bière et d’ouzo.
Nous restons quant à nous sur de délicieux « frappés », des cafés glacés qu’elle dose soigneusement en sucre et en lait selon nos préférences individuelles qu’elle a mémorisées …
No comment :
Jeudi 11 juillet 2024 :
Après un dernier « frappé » chez Anastasia, une belle autoroute nous mène à travers les montagnes couvertes de forêt jusqu’à Sparte, au pied de l’impressionnant mont Taygète (2.417 mètres). De ce royaume mythique, il ne reste rien aujourd’hui et si cette petite ville semble assez plaisante, elle offre peu d’intérêts pour le touriste (Sauf peut-être pour les amateurs avertis, le musée de l’Olive ?).
C’est à quelques kilomètres au sud que se situe notre objectif : le site de Mystra, chargé d’histoire (Cf. « Le saviez-vous ? »).
Comme nous en avons désormais l’habitude, c’est à partir de 18h30 que nous parcourons la ville basse et la ville haute avec leurs palais, églises byzantines et monastères … sans aller jusqu’au château, fermé à cette heure-là, ce qui nous arrange franchement car la grimpette semble terriblement rude pour des vieilles jambes déjà bien sollicitées par le reste du parcours !
La Mystra « moderne » est une charmante toute petite bourgade et nous logeons dans une maison qui dispose de plusieurs terrasses entourée d’orangers avec vue sur la montagne et le vieux Mystra. Le soir, sans doute un effet de l’altitude, la température baisse sensiblement et, c’est une première, nous délaissons nos pièces climatisées pour diner dehors … A noter d’ailleurs que pour la première fois notre maison est équipée de radiateurs. On a du mal à le croire, mais des photos le prouvent : il neige à Mystra en hiver !
Le blog de Θεόδωρος :
Premier et aussi dernier jour à Mystra, où nous avons visité un site dans lequel il y avait beaucoup d’églises orthodoxes, c’était superbement conservé et nous voyons encore aujourd’hui les peintures d’origine dessus. J’y ai même posé un cierge à la santé de ma famille, et notamment à la santé de ma grand-mère maternelle.
Il y avait même une église Saint Théodore !
En tout cas, journée très courte malheureusement, demain nous partons pour Olympie, notre dernière destination avant de retourner prendre l’aviron à Athènes. Encore une belle journée malgré la route qui nous a enlevé un petit peu de temps qui nous aurait permis de visiter peut être Mistra, cette petite ville grecque pas loin de Sparte. Hâte d’être à Olympie !
Est-ce par excès de modestie ? Théodore a oublié de mentionner que pendant la viste de Mystra il a reçu les résultats de son brevet des collèges : reçu avec mention très bien !
Un succès arrosé avec une petite bouteille d’ouzo achetée le jour même à Sparte…
Le saviez-vous ?
Quelle histoire !
Mystra a été fondée en 1249 par les francs, cédée en 1262 aux byzantins, conquise en 1348 par le despote de Morée, occupée par les ottomans en 1460, suivis des vénitiens, reprise par les turcs, incendiée par les russes, puis par les albanais … avant de revenir définitivement à la Grèce !
Ses derniers habitants ne l’ont quittée qu’en 1953, laissant derrière eux la ville fantôme que l’on visite aujourd’hui !
L’anecdote :
Peut-on juger du développement économique d’un pays à la taille de ses canalisations ?
En tous cas, presque partout en Grèce, comme en Amérique du sud ou au Maghreb, le papier toilette doit être jeté dans une corbeille et en aucun cas dans la cuvette !
No comment :
Vendredi 12 juillet 2024 :
On ne change pas un programme qui gagne et nous appliquons à nouveau le formule « plage le matin + site archéologique le soir ».
Sur la route vers Olympie, comme la mer (qu’elle soit Ionienne ou Egéenne) n’est jamais loin dans le Péloponnèse, nous faisons halte à Agiannakis où nous attendent une immense plage et une eau à température parfaite.
Le petit restaurant bien ombragé près de la plage est sympa et le patron, qui a fait les Beaux-Arts à Paris, est heureux de parler un peu français avec nous.
Olympie, sera le dernier site archéologique mais non le moindre. Il est, à nouveau, différent des précédents car Olympie n’était pas une ville mais un centre religieux. Dans un écrin de verdure se succèdent de nombreux restes des bâtiments de ce lieu dédié donc à la religion, mais aussi à la culture et bien évidemment aux Jeux qui ont fait sa réputation.
Pour terminer, le musée consacré à l’histoire des jeux complète de jolie façon toutes les informations glanées sur le site (et nous offre la fraicheur de sa climatisation).
La soirée se termine dans notre Airbnb d’un petit village à quelques kilomètres de là.
Il est bien isolé, sans épicerie ni restau à proximité, mais les propriétaires nous ont laissé de la nourriture et même une bouteille de vin à disposition. La wifi et la clim sont faiblardes mais ça ira pour une nuit …
Les grecs diraient que nous allons de « mégalopolis » à « micropolis » : Athènes compte 3 millions d’habitants, Nauplie 15.000, Mystra 1.200 et Magoula, ce soir, probablement 100 … si l’on compte les poules et les canards !
Le blog de Θεόδωρος :
Premier et encore dernier jour, cette fois ci à Olympie. Nous sommes déjà allés à la plage ce matin nous baigner puis manger dans un petit restaurant pas loin de la plage, pour rejoindre notre Airbnb un peu bancal à Olympie. Puis en fin d’après-midi nous sommes allés voir le lieu où les grecs organisaient les jeux olympiques, des siècles voir millénaires avant nous. C’était juste énorme et quand on y pense beaucoup de sports présents dans nos jeux l’étaient dans les leurs. Nous avons même eu le droit à un petit tremblement de terre d’à peine 3 secondes le soir !
Pour demain, direction la route pour se rapprocher d’Athènes, afin d’y prendre l’avion le jour suivant.
Le saviez-vous ?
En cette année olympique en France, quelques infos recueillies lors de notre visite :
- Les jeux ont eu lieu à Olympie, tous les quatre ans, sans discontinuer, de 776 avant JC jusqu’en 396. Après 293 éditions, c’est l’empereur chrétien Théodose qui supprima cette grande fête au motif qu’elle était « païenne » !
- Ils n’ont repris sous leur forme moderne qu’en 1896 à Athènes sous l’impulsion du baron de Coubertin.
- Le mot « gymnaste » vient du grec « gymnos » qui signifie « nu ». En effet, à l’époque, les athlètes concourraient tous à poil !
- Le stade d’Olympie pouvait accueillir jusqu’à 45.000 spectateurs, uniquement des hommes (est-ce par pudeur, en lien avec l’info précédente ?)
- Les vainqueurs ne recevaient qu’une couronne de laurier pour toute récompense sur place mais étaient fêtés comme des rois chez eux et généralement nourris à vie …
- Pendant toute la durée des Jeux, les différents royaumes qui composaient la Grèce antique, souvent en guerre entre eux, faisaient une trêve et ne s’affrontaient qu’au travers de leurs délégations dans les compétitions officielles …
L’anecdote :
De drôles de petites installations nous ont intrigués sur la plage ce matin jusqu’à ce qu’on découvre son nom anglais, « Turtle beach ». En effet de nombreuses tortues caouanes viennent pondre en ce moment tout au long de la plage et les nids font l’objet de surveillance et de protection par des associations …
No comment :
Samedi 13 juillet 2024 :
Journée de transition : nous voulons nous rapprocher d’Athènes où nous rendons la voiture demain midi. De petites routes serpentant dans les montagnes nous mènent d’abord jusqu’à Patras où nous faisons une petite pause repas près du château dominant le golfe.
De là il n’y a que de l’autoroute jusqu’à Athènes mais nous nous arrêtons à Krathi, une des multiples stations balnéaires qui semblent occuper la totalité de cette partie de la côte grecque.
Une plage de galets très fréquentée par les grecs en vacances nous y attend pour le dernier bain du séjour, aussi agréable que les précédents, dans une eau tiède et limpide …
Le blog de Θεόδωρος :
Avant de retourner à Athènes, nous sommes allés à Krathi, dans un petit appartement, juste à côté de la mer dans laquelle nous sommes allés nous baigner en fin d’après-midi. Nous nous sommes mêmes amusés à faire des ricochets avec Peipei ! La ville était superbe, et c’est dans cet appartement que je vais passer ma dernière nuit en Grèce. Déjà ! Et même si nous n’avons pas visité de site, j’ai vu quelque chose de nouveau aujourd’hui, ce n’est pas quelque chose à voir mais plutôt à manger, ce sont les souvlakis, des petites brochettes de viande, avec du poulet aujourd’hui en l’occurrence. En tout cas, c’est la fin de notre séjour en Grèce, qui a été extraordinaire. Avec des supers paysages, mais qui m’a aussi beaucoup enrichi culturellement, parce que beaucoup de choses que nous connaissons et beaucoup de mots de la langue française, viennent du grec. En résumé, j’ai adoré mon voyage ici tout simplement.
Le saviez-vous ?
La superficie de la Grèce représente seulement un peu plus de la moitié de celle de la France mais du fait de ses nombreuses iles et de ses côtes découpées, la longueur de ses côtes est presque trois fois plus importante !
L’anecdote :
Nous avons encore un peu de mal avec les subtilités du café grec, sans parler de celles de la langue. Ce matin encore, dans un petit village, il nous a fallu répondre à de nombreuses questions sur le type de café que nous souhaitions (« Frappé » ? « Freddo » ? « Helleniko » ? « Espresso » ? …), l’ajout ou non, et en quelles quantités de sucre et de lait …
Comme en plus on a tendance à se mélanger entre « oxi » qui veut dire non et « nai » qui signifie oui … nos cafés chauds sont arrivés glacés !
No comment :
Dimanche 14 juillet 2024 :
C’est le prix à payer quand on part un peu loin de chez soi : 10 heures de transport en voiture, métro et avion vont occuper notre journée.
Un dernier déjeuner près de l’Acropole après avoir rendu la voiture et il faut rejoindre l’aéroport.
Notre dernière image de la Grèce sera vue du ciel …
Beaucoup d’autres resteront dans notre mémoire car nous avons adoré ce court séjour.
Et puis e n’est pour nous qu’un au revoir à la Grèce pour nous car nous projetons d’aller en Turquie en début d’année prochaine. Une autre saison, un tout autre voyage, avec le Sprinter, mais qui empruntera forcément à nouveau les routes grecques.
En attendant, quelques dernière images, animées, de notre séjour avec notamment l’inénarrable relève de la garde à Athènes …
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